L’Observatoire assyriens des droits de
l'homme, représenté par le directeur général, Jamil Diarbakerli, a participé à
la fondation de l ' « Alliance Internationale pour la Paix et le Développement
» avec 40 organisations de la société civile de 23 pays de l'organisation
mondiale et ce en marge de la 37ème session du Conseil des droits de l'homme
des Nations Unies à Genève, en Suisse.
Le document officiel constitutif publié le 28
Février 2018, a évoqué l’essor et la façon de se mouvoir pour atteindre
l’objectif de l'Alliance internationale pour la paix et le développement afin
de vivre dans un « monde sans violence, sans haine, dépourvu d’intolérance ou
d’extrémisme avec partenariat international plus efficace pour promouvoir la
paix et le développement durable ».
Les membres
se sont donnés deux mois pour l’élaboration des statuts de l’Alliance par un
comité spécialisé sur base des propositions des membres. Le document a
également noté que les organisations membres – qui jouent un important rôle
dans leur pays d’origine – vont faire propager la vision et la mission de
coalition et définir des objectifs, à travers la mise en œuvre d'une activité
au moins chaque année pour chaque organisation, comme il a été convenu de tenir
la coalition forum international chaque année sous le titre de « Union Pour la
paix », ainsi que l'accord d'adopter une stratégie spécifique pour communiquer
sur les questions et les intérêts de la coalition.
Durant la
pause, le Directeur de l’Observatoire assyriens des droits de l'homme, Jamil Diarbakerli,
a dit devant un certain nombre d'agences de presse qu’en « ce qui concerne la
terminologie de paix, les commentaires sont nombreux dans les forums
internationaux et régionaux, mais, malheureusement, ce terme reste verrouiller
dans les pages des journaux et ailleurs tout en sachant que les concepts de
guerre, de violence, de haine et de terrorisme sont toujours d’actualité et
largement répandus dans le monde et tout particulièrement au Moyen et
Proche-Orient.
De ce point, Jamil Diarbakerli a souligné la nécessité
d’un effort tout à fait particulier à déployer par les organisations
fondatrices de l'Alliance internationale pour la paix et le développement afin
d'établir une alliance qui favoriserait la paix dans nos sociétés ainsi que son
application sur le terrain d’après les possibilités offertes à chacune d’entre elles,
étant donné que ces organisations ont déjà pris pour slogan et feuille de route
pour leurs actions et activités la paix, les concepts de protection et
d'entretien des droits de l'homme et le développement durable.
Jamil Diarbakerli a ajouté « Nous attendons
avec beaucoup d'optimisme cette coalition internationale sachant qu’il a plus
de 40 organisations de droits civils et humains, parfaitement bien
opérationnelles dans leurs communautés, qui ont pu convenir entre elles dans le
but de travailler pour la paix avec la conviction. Sans la paix, il est
impossible d'adopter des patries et de parler des questions de convivialité,
d'unité nationale, de paix et de développement de sorte que nous serons
confrontés à des sociétés divisés tel est le cas aujourd'hui dans les pays du
Moyen et Proche-Orient».
En conclusion, le directeur exécutif de l'Observatoire
assyrienne des droits de l'homme a déclaré ce qui suit : « aujourd'hui nous
espérons que l'Alliance internationale pour la paix et le développement répondra
rapidement à nos attentes en réalisant de projets qui favorisent toutes les
souches de la société ».